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> Eh bien, chère Laurence, je ne suis plus si fier d'avoir réussi mon coups... La douleur et la grimace méritent aussi d'être montrées<br />
pourtant... N'ayez crainte, j'oscille sans cesse entre différents états et la douceur reviendra dans mes lignes et dans mes pâtes...<br />
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Cher Soluto,<br />
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Un mot que je ne vous dis pas assez: Bravo!<br />
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À vous.<br />
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FS<br />
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> Et bien voilà cher Schiffter c'est dit! Et je vous en remercie... (Comment vous appeler? Frédéric me parait trop proche, Monsieur faussement déférent... Je me souviens d'un article dans Charlie où Cavanna évoquait sa façon d'interpeller ses<br />
pairs... Par le patronyme, d'une voix bien franche et droit dans les yeux! Au fond, peut-on faire mieux?) <br />
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N
Nuageneuf
29/08/2013 12:30
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J'hésite à vous écrire, cher Soluto, depuis deux jours...<br />
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Ces personnages m'effraient. Voilà, c'est dit. <br />
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Amitiés.<br />
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> Bah, bah, bah, cher Nuage... Un grand garçon comme vous! N'hésitez pas, n'hésitez plus! Ici on peut tout dire (mais pas n'importe comment...)<br />
Et vous devriez aussi savoir comme il me plait d'inquiéter à l'occasion...<br />
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Je reviens de votre formidable blog. Ce poème de Gamarra est délicieux comme la noix de Trenet. Hélas, maintenant, les cartables sentent la marque et le plastique...<br />
Bonne rentrée à vous... (il est toujours temps de rentrer...)<br />
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