<br /> <br /> > Dommage, dommage Azoline...  Que ce petit contretemps ne vous empêche pas d'acquérir mes Glaces sans<br /> tain...Prenez soin de vous et rétablissez-vous vite!<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> > Célestine... J'ai attendu, attendu et vous n'êtes jamais venue... Laïe,laïe, laïe... Je m'en suis donc allé siffler sur nos collines enneigées.<br /> Cependant sachez que l'on peut trouver l'ouvrage dans vos contrées et qu'une dédicace, tant que l'auteur tient bon, n'est jamais perdue... Merci de votre passage. A bientôt sur ces pages, les<br /> vôtres, ou sur celles de ce cher Nuage!<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> > Pour vous remercier cher Nuage permettez, vous qui aimez la poésie, que je vous envoie ce texte qu'un ami bien intentionné vient de m'adresser.<br /> Je partageais avec lui ma crainte de voir la neige, qui n'en finit pas de tomber, rendre les routes impraticables...<br /> <br /> <br /> Anne, par jeu, me jeta de la neige,<br /> Que je cuidais froide certainement;<br /> Mais c'était feu; l'expérience en ai-je,<br /> Car embrasé je fus soudainement.<br /> Puisque le feu loge secrètement<br /> Dedans la neige, où trouverai-je place<br /> Pour n'ardre point ? Anne ta seule grâce<br /> Eteindre peut le feu que je sens bien,<br /> Non point par eau, par neige, ni par la glace,<br /> Mais par sentir un feu pareil au mien.<br /> <br /> <br />   <br /> Clément Marot  (1497-1544), Le dizain de neige<br /> <br /> <br /> <br /> A très bientôt,<br /> <br /> <br /> Bien à vous...<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> > Merci, cher Nuage… J’espère que votre souhait sera exaucé, que cette signature amènera jusqu’à mon livre les bons amis (qui me pardonnent tout)<br /> et ceux qui me suivent depuis longtemps. Qu’elle amène aussi un peu de ceux qui ne connaissent souvent de moi que les dessins et les peintures. Les lecteurs aventureux, les égarés bénéficieront<br /> du même sourire et de la même bienveillance. Qu’ils viennent, qu’ils viennent… Je les attends.<br /> <br /> <br /> Pourvu que la neige, qui s’acharne, ne me nuise pas et qu’elle laisse la route libre jusqu’à la librairie de la Galerne… Merci encore de votre attention…<br /> <br /> <br /> <br />